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Trucs et Astuces

Ce document contient une sélection des meilleurs trucs et astuces pour OS/2. Une partie des astuces présentées ici ont été extraites de Stupid OS/2 Tricks, avec l'accord de son auteur, Melissa Woo. Merci à elle !

Les astuces reprises de SOT sont signalées par [xxx] en fin de paragraphe ; xxx étant soit SOT soit le nom de la personne ayant contribué le truc (et, non, « contribuer » dans ce sens n'est pas un anglicisme :-). Les astuces non ainsi marquées viennent de moi ou de la documentation OS/2.

Les trucs qui fonctionnent aussi avec des versions antérieures à OS/2 Warp sont signalés par le symbole V2+ en fin de paragraphe.

Contenu


Plusieurs configurations de démarrage

Warp permet les configurations multiples. C'est à dire que vous pouvez avoir plusieurs fichiers de configuration --- un chargeant les pilotes de réseaux, un autre pas...

Cf. le Guide d'utilisation p. 222--228 (chapitre 16), ou sélectez CONFIG.SYS dans l'Index principal, situé dans le dossier Information sur le bureau.

Pour qu'OS/2 présente à chaque démarrage la liste des configurations disponibles, configurez la zone Ecran Option de Récupération de l'onglet Archivage du bloc-notes Paramètres du bureau.

Pour accéder occasionnellement à l'écran Option de récupération présentant les diverses configurations lors du démarrage, appuyez sur Alt+F1 lorsqu'un carré blanc apparaît dans le coin supérieur gauche de l'écran, avant l'affichage du logo OS/2.

Et si, au lieu de Alt+F1, vous appuyez sur Alt+F2, vous verrez défiler la liste des pilotes chargés.


Créer des disquettes de démarrage

Pour créer des disquettes permettant de démarrer OS/2, utilisez l'objet Création de disquettes d'utilitaires situé dans le dossier Configuration du système. [SOT]


Redémarrer automatiquement le système après une erreur

Pour permettre à un système de fonctionner en continu, sans intervention d'un opérateur, même en cas d'erreur, ajoutez les lignes suivantes dans le fichier CONFIG.SYS : [SOT]

Un petit commentaire sur la liste qui précède : pour dire les choses autrement, REIPL fait que le système redémarre automatiquement en cas d'erreur, SUPPRESSPOPUPS fait que les incrustations qui apparaissent normalement pour signaler une erreur sont redirigées vers le fichier lettre-unité:\POPUPLOG.OS2, et DUMPPROCESS fait que tout processus qui déclenche une erreur est cliché --- core-dump dans la terminologie Unix...

Si vous souhaitez vérifier l'état d'une (ou plusieurs) partitions HPFS lors du lancement, vous pouvez faire précéder le nom des partitions à vérifier d'un signe « + » dans la ligne IFS=x:\OS2\HPFS.IFS de votre fichier CONFIG.SYS (par exemple /AUTOCHECK:C+D+EF vérifiera systématiquement les partitions D et E, alors que les partitions C et F ne seront vérifiées que si le système n'a pas été arrêté correctement).


Les tableaux de bords

Saviez-vous que vous pouviez déplacer les tiroirs ? Pour ce, il suffit de les faire glisser avec le bouton de droite de la souris (il faut amener le pointeur sur le fond d'un tiroir --- pas sur les icônes --- avant de faire glisser). [SOT]

Pour supprimer définitivement le tableau de bord, faites-le glisser sur le broyeur (ou sélectez Suppression dans son menu contextuel), puis supprimez le terme LAUNCHPAD de la ligne SET AUTOSTART du fichier CONFIG.SYS. [SOT]

Pour réactiver le tableau de bord, après qu'il ait été supprimé comme indiqué dans le paragraphe précédent, ajoutez le terme LAUNCHPAD dans la ligne SET AUTOSTART du fichier CONFIG.SYS. [SOT]

Pour amener au premier plan le tableau de bord, cliquez deux fois sur le fond du bureau ou d'un dossier. [Jack Tan]

Pour amener au premier plan le tableau de bord en utilisant le clavier à partir d'un dossier, désélectez tous les éléments du dossier en pressant Ctrl+AltGr+\ (ou Ctrl+D), et appuyez sur Entrée. [Jack Tan]

Pour configurer le tableau de bord, sélectez Paramètres dans son menu contextuel (pour ouvrir le menu contextuel du tableau de bord, cliquez avec le bouton de droite sur une zone libre --- i.e., ne contenant pas d'icône). N'oubliez pas que l'onglet Options contient deux pages (sélectez les petites flèches en bas à droite du bloc-notes pour passer d'une page à l'autre). [SOT]

Pour créer de nouveaux tableaux de bord, utilisez le script REXX suivant :

 /* créer de nouveaux tableaux de bord */
 call RxFuncAdd 'SysLoadFuncs', 'RexxUtil', 'SysLoadFuncs'
 call SysLoadFuncs
 rc = SysCreateObject('WPLaunchPad', 'Nouveau', '<WP_DESKTOP>')
 if rc = 1 then 
   say 'Création OK'
 else 
   say "Argh, ça n'a pas marché !"

Pour ajouter un objet dans le tableau de bord ayant pour identificateur <WP_LAUNCHPAD>, on peut utiliser le paramètre DRAWEROBJETS.

Ainsi, pour ajouter un objet à la fin de ce tableau de bord:

 call SysSetObjectData '<WP_LAUNCHPAD>', 'DRAWEROBJECTS=0,e:\config.sys'

Pour ajouter un objet à la fin du premier tiroir:

 call SysSetObjectData '<WP_LAUNCHPAD>', 'DRAWEROBJECTS=1,e:\config.sys'

La syntaxe est <numéro du tiroir>,<obj1>[,<obj2>]...

<numéro du tiroir> est 0 pour le tableau de bord, 1 pour le premier tiroir (le plus à gauche lorsque le tableau de bord est horizontal), et ainsi de suite.

<objn> est soit un identificateur soit un chemin.

Pour placer un modèle dans un tableau de bord, maintenez enfoncées les touches Ctrl et Maj lorsque vous faites glisser le modèle, ou utilisez la fonction Prendre/Déposer du menu contextuel du modèle. [SOT]

L'icône du modèle dans le tableau de bord ne reflète hélas pas le fait que ce soit bien un modèle.


Les dossiers

Pour faire en sorte qu'un dossier se ferme lorsque vous ouvrez un objet qui se trouve dedans, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous ouvrez l'objet (que ce soit en cliquant deux fois ou en sélectant Ouverture dans le menu contextuel). [SOT]

Pour que tous les dossiers se comportent de la sorte (i.e., se ferment lorsque l'on ouvre l'un de leurs éléments), (1) ouvrez l'objet Système, situé dans le dossier Configuration du système (accessible soit directement par le menu contextuel du bureau, soit par le dossier OS/2), (2) sélectez l'onglet Fenêtre, (3) Cliquez une fois sur la flèche à droite, en bas à droite du bloc-notes pour passer à la page 2 de l'onglet, et (4) sélectez finalement la pastille correspondant au comportement souhaité. [SOT]

Pour modifier le comportement d'un dossier en particulier, procédez de manière identique, mais cette fois avec le bloc-notes Paramètres du dossier, et non celui de l'objet Système. [SOT]

Pour faire en sorte qu'un dossier se ferme lorsque vous ouvrez son parent, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous sélectez l'option Ouverture du parent dans le menu contextuel.

Pour configurer la vue par défaut présentée lors de l'ouverture des dossiers, sélectez la pastille correspondant à votre choix dans la page 3 de l'onglet Fenêtre du bloc-notes Paramètres de l'objet Système (cf. trois paragraphes plus haut pour la manière d'accéder à cette page). [SOT]

Pour éditer l'icône animée d'un dossier (i.e., l'icône affichée lorsque le dossier est ouvert), ouvrez le bloc-notes Paramètres du dossier désiré, sélectez l'onglet Général, cliquez sur la flèche à droite en bas à droite du bloc-notes pour passer à la deuxième page, puis créez ou éditez l'icône comme à l'accoutumée. [SOT]

Pour cacher un dossier, ouvrez son bloc-notes Paramètres, sélectez l'onglet Fichier, puis cliquez sur la flèche à droite en bas à droite du bloc-notes pour passer à la deuxième page, puis sélectez la case à cocher Caché. Le dossier doit maintenant être caché. [SOT,V2+]

Pour revoir un dossier caché comme indiqué dans le paragraphe qui précède, ouvrez le bloc-notes Paramètres du dossier qui contient le dossier caché. Sélectez l'onglet Visualisation, puis la plaquette Ajout. Dans la fenêtre qui apparaît, ajoutez le critère ayant comme attribut « Indicateurs », comme type de comparaison « Non égal à » et comme valeur « --H- ». Les dossiers cachés doivent réapparaître. [SOT,V2+]

Si vous ne souhaitez pas voir le contenu des dossiers être automatiquement réactualisé, ajoutez la ligne SET AUTOREFRESHFOLDERS=NO dans votre fichier CONFIG.SYS, et relancez votre système. Dans ce cas, il faut explicitement sélecter l'option Régénération Immédiate du menu contextuel du dossier pour que le contenu soit réactualisé. [V2+]


Les objets

Pour sélecter un objet sans utiliser la souris, tapez simplement la première lettre du nom de l'objet. (Si plusieurs objets ont un nom commençant par la même lettre, appuyez de nouveau sur cette lettre pour passer de l'un à l'autre.) Appuyez sur Entrée pour ouvrir l'objet. [SOT,V2+]

Si vous trouvez que les menus contextuels du bureau et des objets sont trop chargés, ajoutez la ligne SET MENUSTYLE=SHORT dans votre fichier CONFIG.SYS, et relancez votre système. [V2+]

Pour changer le nom d'un objet, maintenez la touche Alt enfoncée, puis cliquez une fois sur l'objet. Pour valider le nouveau nom, utilisez la touche Enter du pavé numérique, ou cliquez en dehors de l'objet avec la souris. Pour annuler l'édition, appuyez sur la touche Échap. (Si vous utilisez la touche Entrée du clavier « machine à écrire », vous insérez un retour chariot dans le nom --- ce qui peut être voulu...) [V2+]

Pour ouvrir rapidement le bloc-notes Paramètres d'un objet, maintenez la touche Alt enfoncée et cliquez deux fois sur l'objet. [SOT]


Les manipulations directes

La fonction « Prendre/Déposer », nouvellement introduite avec OS/2 Warp, est également accessible sans passer par le menu contextuel des objets :

         Utilisez                        Pour

         Alt+Bouton de droite            Prendre
         Ctrl+Bouton de droite           Déposer (en copiant)
         Maj+Bouton de droite            Déposer (en déplaçant)

Vous pouvez prendre plusieurs objets simultanément avant de les déposer, mais les objets que vous prenez doivent tous appartenir au même dossier. Pour prendre plusieurs objets, répétez l'action « Prendre » (via le menu contextuel ou via la méthode décrite plus haut) avant de les déposer.

Lorsqu'un objet est « pris », l'icône le représentant voit son arrière plan constellé de petits points --- eh eh, j'ai placé le verbe "consteller" :-)


Les invites

Pour accélérer le défilement du texte, amenez le pointeur de la souris sur la barre de titre, et maintenez enfoncé une à deux secondes l'un des boutons de la souris. [DCN,V2+]

Pour coller du texte sans inclure un retour chariot à la fin, après une opération de marquage/copie, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous sélectez l'option Collage du menu. [SOT,V2+]

Pour supprimer définitivement les fichiers du répertoire \DELETE d'une unité, afin de regagner un peu d'espace disque, utilisez la commande :

  UNDELETE X:\* /f /s /a

X étant l'ID de l'unité sur laquelle vous souhaitez regagner de la place. [SOT,V2+]

Pour supprimer définitivement un fichier, alors que la fonction UNDELETE est active (via SET DELDIR dans le fichier CONFIG.SYS), utilisez la commande :

  DEL fichier(s) /f

fichier(s) étant la spécification du (ou des) fichier(s) à supprimer. [SOT,V2+]

Pour rechercher un fichier avec un nom donné sur une unité, utilisez la commande :

  DIR unité:\fichier /S

unité étant l'ID de l'unité à parcourir, et fichier la spécification du nom de fichier à rechercher. (Si vous ne recherchez que le chemin du fichier, vous pouvez ajouter /B après /S.) [SOT,V2+]

Pour annuler une impression à partir d'une invite OS/2, utilisez :


Si vous souhaitez supprimer un travail sur une autre file d'impression, ajoutez le paramètre /D:xxx, où xxx est le nom du périphérique d'impression (par exemple LPT2). [Jack Tan,V2+]

Pour obtenir des informations détaillées sur votre configuration matérielle, utilisez la commande RMVIEW. (Utilisez la commande RMVIEW /? pour voir la liste des options disponibles.)

Vous pouvez spécifier le nombre de lignes et de colonnes des sessions OS/2 en fenêtre en utilisant la commande MODE colonnes,lignes. Par exemple :

  MODE 85,35

Pour ajouter des chemins au début (ou à la fin) du LIBPATH, utilisez l'instruction SET BEGINLIBPATH (ou SET ENDLIBPATH). Cette modification du LIBPATH n'est valable que pour les applications lancées à partir de la session OS/2 dans laquelle ces modifications ont été effectuées. Par exemple, pour ajouter les chemins E:\TMP\DLL1 et E:\TMP\DLL2 en tête du LIBPATH, utilisez : [SOT]

  SET BEGINLIBPATH=E:\TMP\DLL1;E:\TMP\DLL2;

Pour obtenir le niveau de révision interne d'OS/2 Warp, utilisez la commande VER /R. Pour obtenir le niveau de révision des divers composants du système, utilisez la commande SYSLEVEL. [V2+]


WebExplorer

Pour augmenter le nombre d'unités d'exécution utilisées par WebExplorer (jusqu'à un maximum de 8), ajoutez « -t n » (sans les guillemets, et où n est le nombre d'unités d'exécution souhaité) dans la zone d'entrée Paramètres du bloc-notes Paramètres de WebExplorer. [SOT]

Le nombre d'unités d'exécution utilisées par WebExplorer correspond au nombre d'images chargées simultanément (4 par défaut).

Pour faire en sorte que WebExplorer ne vous demande plus confirmation lorsque vous le fermez, ajoutez « -q » (sans les guillemets) dans la zone d'entrée Paramètres du bloc-notes Paramètres de WebExplorer. [SOT]

Pour accéder aux menus déroulants lorsque WebExplorer est en mode Présentation, appuyez sur la touche F10 (ou Alt) et utilisez les flèches pour dérouler les menus. [SOT]

Pour ajouter des touches d'accès rapide aux dix premières entrées de votre QuickList : [SOT]

  1. Sélectez la plaquette QuickList pour afficher la liste de vos entrées favorites ;
  2. Mettez en évidence l'entrée à laquelle vous souhaitez pouvoir accéder rapidement ;
  3. Sélectez la plaquette Edit ;
  4. Insérez un tilde (« ~ ») devant la lettre que vous souhaitez utiliser pour accéder à l'entrée ;
  5. Validez votre modification et fermez la liste de vos entrées favorites ;
  6. La touche d'accès rapide apparaîtra soulignée dans le menu QuickList.

Vous pouvez définir plusieurs objets WebExplorer, avec chacun sa propre configuration (couleurs, position, QuickList, ...). Pour ce, créez plusieurs icônes WebExplorer, et spécifiez un fichier INI différent pour chacune d'entre elle, en ajoutant « -i unité:\tcpip\etc\fichier.INI » (sans les guillemets, et où unité est l'unité sur laquelle se trouve le répertoire \tcpip\etc et où fichier est le nom du fichier INI que vous souhaitez utiliser). La première fois que vous ouvrirez ces objets, un message vous informera que le fichier INI n'existe pas, et qu'il sera créé. [SOT]

Vous pouvez spécifier la taille et la position de WebExplorer sur votre écran : [SOT]

  1. Éditez le fichier \tcpip\etc\explore.ini (ou le fichier INI utilisé par l'objet que vous souhaitez paramétrer) ;
  2. Pour spécifier la position du bord gauche, ajoutez « xleft=pixels » (sans les guillemets), où pixels est le nombre de pixels à partir du bord gauche de l'écran.
  3. Pour spécifier la position du bord inférieur, ajoutez « xbottom=pixels » (sans les guillemets), où pixels est le nombre de pixels à partir du bord inférieur de l'écran.
  4. Pour spécifier la largeur de la fenêtre, ajoutez « width=pixels » (sans les guillemets), où pixels est la largeur en pixels de la fenêtre.
  5. Pour spécifier la hauteur de la fenêtre, ajoutez « height=pixels » (sans les guillemets), où pixels est la hauteur en pixels de la fenêtre.

Si vous modifiez interactivement la taille et/ou la position de la fenêtre de WebExplorer, cette nouvelle taille/position sera enregistrée dans le fichier INI associé à l'objet WebExplorer, et sera donc utilisée lors des sessions ultérieures.

Pour spécifier le répertoire par défaut dans lequel WebExplorer placera les fichiers téléchargés, entrez le chemin de ce répertoire dans le champ Répertoire de travail du bloc-notes Paramètres de WebExplorer.


Netscape Communicator

Sur certaines machines, même après avoir suivi les instructions du fichier README pour le FixPak 6, des lignes blanches peuvent subsister dans les images. Si c'est le cas pour vous, utilisez le script REXX suivant (puis quittez et relancez Netscape Communicator) : [Michael Kaply]

/* */
call RxFuncAdd 'SysLoadFuncs', 'RexxUtil', 'SysLoadFuncs'
call SysLoadFuncs

call SysIni 'USER', 'FixPak', 'Shift', '2'
Si cela ne règle pas votre problème, essayez en changeant le « 2 » en « 1 ».

Voici quelques instructions que vous pouvez ajouter à votre fichier PREFS.JS (situé dans le répertoire \NETSCAPE\Users\utilisateur) : [Michael Kaply]

Si vous spécifiez pour police d'affichage vectorielle Times Roman MT 30 pour tous les codages, vous serez à même de visualiser des documents en n'importe quelle langue. [Michael Kaply]


Un écran caché

Pour voir l'un des écran cachés d'OS/2, cliquez sur le fond du bureau, puis appuyez simultanément sur Ctrl, Alt, Maj et « o ». Ah ! la Floride et ses flamants roses...

Vous devez avoir sélecté les Bitmaps en option lors de l'installation si vous voulez voir l'écran caché.


Le WarpCenter

Pour ouvrir le bloc-notes des propriétés d'un objet apparaissant dans une liste déroulante du WarpCenter, pressez Ctrl et sélectez l'objet avec le bouton de gauche de la souris.

Toujours dans ces listes déroulantes du WarpCenter, pour ouvrir un dossier sous forme de fenêtre --- en lieu et place d'une liste déroulante ---, sélectez l'objet avec le bouton de droite de la souris.

Pour supprimer un processus en cours d'exécution, maintenez la touche Ctrl enfoncée lorsque vous sélectez la liste des tâches du WarpCenter --- Ajoutez si besoin l'instruction SET SCKILLFEATUREENABLED=1 dans votre fichier CONFIG.SYS pour activer cette fonctionnalité.

Et si vous êtes téméraires, ajoutez l'instruction SET SCKILLCONFIRMDISABLED=ON dans votre fichier CONFIG.SYS, pour supprimer la demande de confirmation lorsque vous demandez la suppression d'un processus.

Pour configurer les plateaux du WarpCenter via un script REXX, utilisez la fonction SysSetObjectData avec les chaînes de paramètres suivants :

Dans les deux dernières chaînes de paramètres, tous les paramètres sont séparés par des virgules. Il n'y a pas de commande permettant de supprimer ou de renommer un plateau.

Lorsqu'un dossier est placé dans l'un des plateaux du WarpCenter, il présente son contenu sous forme d'une liste déroulante lorsqu'il est sélecté.

Vous pouvez modifier l'apparence de l'horloge du WarpCenter en ajoutant l'instruction SET SCUSEPRETTYCLOCK=1 dans votre fichier CONFIG.SYS.

Vous pouvez spécifier le programme utilisé pour rechercher les objets, en ajoutant l'instruction SET SCFINDUTILITY=C:\OS2\APPS\PMSEEK.EXE (ou autre) dans votre fichier CONFIG.SYS.

Vous pouvez faire en sorte que les choix dans les menus du WarpCenter se sélectent automatiquement au passage de la souris en ajoutant l'instruction SET MENUSFOLLOWPOINTER=1 dans votre fichier CONFIG.SYS. [À partir du FixPak 5.]


Le presse-papiers

Dans les zones d'entrées, et si vous avez une souris avec trois boutons, vous pouvez copier/coller une portion de texte sans utiliser le clavier ni le menu contextuel. Pour copier une portion de texte vers le presse-papiers, sélectez le texte puis cliquez sur le bouton de droite tout en maintenant enfoncé le bouton du milieu. Pour coller le contenu du presse-papiers, positionnez le curseur à l'endroit souhaité, puis cliquez sur le bouton de gauche, tout en maintenant enfoncé le bouton du milieu.

Si vous avez une souris avec deux boutons, pour copier une portion de texte vers le presse-papiers, sélectez le texte, puis, sans lâcher le bouton de gauche, cliquez sur le bouton de droite. Pour coller le contenu du presse-papiers, positionnez le curseur à l'endroit souhaité, puis cliquez sur les deux boutons simultanément.

Vous pouvez créer un objet dont le contenu correspond à celui du presse-papiers. Pour cela, après avoir placé dans le presse-papiers le contenu désiré (un texte, une image, etc.), appelez le menu contextuel du dossier dans lequel vous voulez créer l'objet, et sélectez l'option Collage....


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Mot exact

ML